Il y a des monstres dans leur lit.
Ils ont passé des années à s’essoufler
à s’étonner
à se malmener
Où en sommes-nous
si rien n’est fait ?
Chaque chemin
mène à l’identité.
Chaque regard
mène à l’aménité.
Et toi, que feras-tu de ces années mourantes ?
Quand on les regarde, est-ce qu’on peut ne pas les aimer ?
Il y a dans la fin
une splendeur qui ne se comprend
que par ceux qui casse et recasse
leurs pensées
Leurs certitudes
Leurs idées.
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