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  • faire cpuue,t

    Je pourrais brûler des villages

    dans ce silence étouffé

    me laisser perdrte dans des étendues

    pourquoi faire ?

    C’est un bout de vide qui grandit

    dévore et engloutit

    vers les immeubles de mes anciennes pensées

    t’es partie ? Laisse nous te rappeler ?

    j’ai lma main libre et le coeur glauque, vide et tragique

    dis moi pourquoi toutes ces allées brûlantes

    et ces délires grandissant

    dis moi ce que tu feras dans ce silence

    si le monde te dit « maintenant » ?

    Des bulles et des grandes idées

    des pouvoirs estropiés les mains liées y a-t-il quelqu’un dans la forteresse

    j’ai assez de pierres pour m’étonner

    mes mains sont là hâte toi

    tiens bon, j’ai pezrdu mes bras

    que faire de ces matins silencieux ?

    Que faire quand tout retombe et que rien ne reste

    il n’y a qu’une bruine dans la vie

    et le matin finit bien par se lever

    écrasant les gouttes patiemment montées

    vers le sol.

    Toutes ces folies, tout ces chefs d’oeuvres insolents

    c’est là que ça se passe ? Là que ça s’invite ?

    On fait deux mains et deux pieds

    et on croise les doigts pour penser ?

    T’es pas fait pour tenir la corde mon vieux

    pas fait pour tenir l’excellence

    pas fait pour partir dans les incendies c’est falsifié tout ça

    tuu verras le temps ne te donnera pas de pierre supplémentaire

    tout ça finira par te pendre au nez

    occupe toi

    encore et encore

    tiens bon la corde raide et les désirs inanimés

    on ne verra pas la fin à force de se croire invincible

    illumine toi

    y a pas le temps

    y a pas l’espoir

    y a pas la vie ni le noir

    les griffes plantées dans l’insensibles

    c’est pas comlme ça que tu verras le demain chantant c’est comme ça que tu gvrandiras encore et encore

    j’ai pas de regard

    j’ai pas d’yeux

    j’ai pas de tien

    ni de mien

    ni d’idées vieilles comme le monde

    j’ai que des bulles qui sortent et tournoient et ça ne suiffit pas, ça ne suffit pas

    on se tient la main

    on se tient le coeur

    et l’échancrure qui nous maintient

    dans l’erreur

    mais c’est pour faire quoi tout ça ?

    Hein ?

    Dis moi, c’est pour quoi ?

    Quand ça saute partout et que ça se fait comme des nuées folles et hurlantes

    quand on crie et qu’on se tond tout entier dans les marécages de l’ennui

    parce que tout ça ne tient qu’à unb fil

    qu’à un invisible ridicule petit fil

    qui ne nous mènera jamais plus loin

    que des boutys de cendres

    alors quoi ? On peut ? On doit ? On imagine ? On fait ? On foi ?

    Pour tout te dire

    il y a des tunnels qui ne veulent pas s’échapper

    il y a des ruses qui ne peuvent pas grandir et grogner

    et des mains pourries

    qui s’enfuient dans l’imaginaire

    mais c’est tout toi, ça n’est-ce pas ? Laisse pourrir, laisse grandir, imagine les autres

    imagine les esprits

    tout ça ne tient qu’à un fil et tu ne seras pas le premier à tomber

    dans ce gouffre sans appel

    sans retour

    sans éternel

    c’est à toi que grandira l’immense

    à toi que se fera les mains pliées, liées, brisées

    mais tu le sais dséjà n’est-ce pas ?

    Dialogue interne de cri

    de silence

    de mughissements

    de douleurs

    lancinants

    comme un drapeau ndéchiré

    flottant au vent

    sans question

    poourquoi encorte en poser quand la réponse

    ne fait que retarder l’échéance?N

    Quand les mains liées, pliées, brisées

    n,e se tiendront plus ?

    Tout ça finira par changer de couleur, par se laisser aller à un petit bol de vide

    un petit bout de cruauté

    mais ça ne tient pas à toi, n’est-ce pas ?

    Pas à un voleurt, un incendie, un roc qui sde tient et s’éteint.

    Mlais voilà les mains courent enciore et encore et eon dirait qu’elles s’épuisent à taper et laisser s’écraser

    comme des gouttes de sueur

    sur un clavier

    pourquoi on imagine encore et encore

    la foi en quoi ? La foi en l’erreur

    on se’ tient la tête et les mains

    pliées,n brisées, écrasées

    dis moi encore ce que tu imagines faire dans la nuit

    dis mloi encore commenty les mains tombent encore ety encore à toute vitesse si vite que les mots s’enchaînent dans un silkence complet

    tiens bon, just tonight

    il y ades billes d’îles qui grandissent dans tes yeux

    et dtes oreilles n’auront pas le temps

    de tourner vers le sable

    le vent estlà, il souffle

    la goutte ezst déjà partie

    maladie de l’esprit

    à se tortdre d’imaginaire

    pour se croire

    invisible

    invinciible

    si fort et insensible

    c’est le milieu de tout et de rien

    qui grandit et emporte

    pour tout dire, on n ‘a pas la joie d’être a ussi grand

    que le plus petit des orteils des géantsd

    mais voilà, on tient encore

    acc’roché à un bout de branches

    un brin d’herbe

    un cri

    une idée

    poour se tenir jusqu’à ce que les mains s’empêchent dc’elle m^ême

    que la crampe ghrandissent et hurlent

    ses impossibilités

    il n’y en a lus quand on se laisse aller jusqu’à ce que tout le corps supplie mercy

    mùais ce n’est pas dans le tréanslanguage qu’on se fera prier

    why are you here ?

    You know why ?

    Loe temps de tombert,n c’est le temps d’accélrer encore et encore j’ai le vide qui vient

    et les mains qui courent

    det moi avec

    on n’est pas assez pour ce silence

    ojn n’est pas encore pour ce vide

    mais on en fera une bulle

    une bulle de pâpier

    une bulle d’(éternité

    qui viendra à s’effacer

    mais si ? Si ? Si ? j’ai pazs de si, sur si on y croit

    c’est si lent désormais

    mais çàa acélère toujours parce que les mots veulent continuer à srotir,j sans avoir rien à dire

    le néanant de cde qui parle encore et encore

    des monceaux de foule

    arraché à des villes piuantes

    du goudron qui trouve ça polkace

    dsans les c^potes des rats

    on fera avec ce qu’on a.

  • fdvcx

    j’ai partlé à desallées mortes

    dansé dans des chemins boueux

    des idées grises des envies déchaînées

    de tout ces lieux étranges

    ces marais faits de gratte-cielsces vcilles en feuillagesj’ai tiré un peu de vide

    un peu de maintient

    et voilà ce que je suis ce que je peux, ce que j’imagine

    fais moi brûleraitfais moi danser

    j’ai tant à faire que je ne sais où allergique

    j’ai des mains

    etdes pieds

    et la danse

    qui m’emporte

    jusqu’au monde dépassées

    Hey toi

    dis moi tout

    dis moi rien

    fait rugir ce néant

    et ces mines de sensibilité

    creuse les et déchire les

    brûle cesilence

    pour tenir la flamme

    la flemme

    la verve

    la haine.

    C’est une boule de furie

    qui grandit en moi

    tant à dire

    çà déchirer

    à tenir

    pour aller jusqu’à l’éternité

    fais moi hurler

    et dormiraitet grandir

    « et teznir ce petit bout de rien du tout qui ne veut pas s’en aller.

  • Cicatrice

    Et ces cicatrices qui parcourent mes pensées
    Ces regards de bière et ces moments de mort.

    A deux pas de tout, il y a une crevasse
    Bordée d’arbres, comblée de neige
    Comme une couronne à l’intérieur d’un crâne
    Et ce fil, comme ma vie
    Tendu au milieu de la toile
    Une étoile de silence qui vogue au gré
    Des pensées et des envies.

    Tomber, tomber encore
    Chercher le trésor.
    Il y a un arbre dans le précipice
    Fait de glace et de soleil
    Brûlant, brillant, balbutiant
    Des mots sans sens
    Des émotions sans sensation.

    Il y a des oreilles congelées
    Et des bouts de fleurs
    Des pétales de souvenirs
    Creusés dans la peau.

    Il y a des larmes
    Tombant en trombe
    Cherchant la cascade
    Qui jamais ne s’effondre.

    Ces boules de vides qui enflent et qui ronflent
    ne finissent jamais de combler le précipice
    Et tombent, tombent encore
    Tombeau de vie
    Papier de mort.